Membres du réseau

Voilà la liste des universitaires ayant exprimé un intérêt ou étant actifs autour des thématiques de la recherche reproductible.

Annecy

Bobigny

Bordeaux

Bron

  • Claude Gronfier — Centre de recherche en neurosciences de Lyon (CRNL)
  • Nicolas Roelandt — Département Aménagement Mobilités Environnement
  • Yoann Lafon — Laboratoire de Biomécanique et Mécanique des Chocs, LBMC, UMR_T 9406

Chelles

  • Nathanne Rost — LVTS

Clermont-Ferrand

Corte

Dijon

  • Aurélien Cottin — UMR Agroécologie - pôle Biome - équipe BioCom

Évry

Gif-Sur-Yvette

Grenoble

Limoges

Lyon

Marseille

  • Franck Torre — IMBE

Montpellier

Nantes

Nice

  • Silvia Bottini — MDLab

Orléans

Orsay

  • Sarah Cohen-Boulakia — Laboratoire Interdisciplinaire des Sciences du Numérique
  • Nicolas Ferey — Laboratoire Interdisciplinaire des Sciences du Numérique

Palaiseau

Paris

  • Johann Dreo — Computational Systems Biomedicine
  • Frédéric Lemoine — Institut Pasteur
  • Pierre Poulain — Institut Jacques Monod
  • Simon Tournier — Institut de Recherche Saint Louis, Inserm US53, CNRS 2030
  • Isabelle Boutron — Centre de Recherche en Epidémiologie et Statistique (CRESS)
  • Fay Betsou — CRBIP
  • Etienne Kornobis — Biomics
  • Yves Rozenholc — UR 7537 BioSTM 7537 BioSTM
  • Tru Huynh — unité de bioinformatique structurale (Nilges)
  • François-Xavier Lyonnet-Du-Moutier — CiTCoM
  • Josselin Noirel — GBCM
  • Benoist Laurent — Laboratoire de Biochimie Théorique
  • Roberto Toro — Neuroanatomie appliquée et théorique
  • Lydia Yahia-Cherif — ICM
  • Laurent Jourdren — IBENS (ENS - CNRS UMR8197 - Inserm U1024)
  • Aurélien Allard — Sciences, Normes, Démocratie (SND)
  • Pierre Poulain — Institut Jacques Monod
  • Thomas Denecker — CNRS
  • Magali Hennion — Epigénétique et Destin Cellulaire
  • Timothée Giraud — UAR 2414 RIATE
  • Alexandre Hocquet — Archives Poincaré (UMR 7117)
  • Philippe Hupé — Bioinformatics Core Facility
  • Nicolas Servant — Plate-forme de bioinformatique
  • Claire Vandiedonck — Université Paris Cité

Rennes

Rungis

Saclay

Strasbourg

Tarbes

Toulouse

Villetaneuse

Villeurbanne

Réseaux internationaux

Le réseau français s’inscrit dans un plus vaste réseau international regroupant des réseaux nationaux composés d’universitaires qui visent à promouvoir et à garantir des pratiques de recherche rigoureuses en mettant en place des activités de formation appropriées, en concevant et en évaluant les efforts d’amélioration de la recherche, en diffusant les meilleures pratiques et en travaillant avec les parties prenantes pour coordonner les efforts dans tout le secteur. Ces rseaux nationaux visent une large représentation disciplinaire et un dialogue interdisciplinaire intensif (par exemple, avec les organismes de financement, les éditeurs, les sociétés savantes et d’autres organisations sectorielles, ainsi que des chercheurs de toutes les disciplines et à tous les stades de leur carrière).

Initiatives nationales connexes

Comité pour la Science Ouverte (ouvrirlascience.fr)

Le Comité pour la science ouverte mobilise les acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche pour accompagner de manière dynamique et coordonnée la mise en œuvre de la politique nationale de science ouverte. Il se compose de plusieurs instances qui proposent des orientations, instruisent les dossiers, effectuent des arbitrages, impulsent et accompagnent les actions associées. Il constitue une structure fluide, facilitant l’expression et la remontée des idées, les engagements et les contributions.

HAL (hal.archives-ouvertes.fr)

HAL est une plateforme en ligne développée en 2001 par le Centre pour la communication scientifique directe du CNRS, destinée au dépôt et à la diffusion d’articles de chercheurs (publiés ou non), et de thèses, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés. L’accès aux données est libre, mais pas nécessairement leur utilisation ou réutilisation. La plateforme vérifie le contenu scientifique des articles et documents déposés, mais ne procède pas à leur évaluation. Cet outil vient donc en complément de la publication dans des revues à comité de lecture. Les articles scientifiques peuvent y être déposés avant publication (preprint) ou après publication, l’archive fournissant alors, le cas échéant, un accès ouvert.

Open Editions (www.openedition.org)

OpenEdition est une infrastructure complète d’édition numérique au service de la communication scientifique en sciences humaines et sociales. Elle rassemble quatre plateformes dédiées aux revues avec OpenEdition Journals, aux collections de livres avec OpenEdition Books, aux carnets de recherche avec Hypothèses et aux événements scientifiques avec Calenda. Parmis ses mission, le développement de l’édition numérique en accès ouvert, la diffusion des usages et compétences liées à l’édition numérique, la recherche et l’innovation autour des méthodes de valorisation et de recherche d’information induites par le numérique et garantir un haut niveau de fiabilité et de disponibilité des plateformes.

Office français de l’intégrité scientifique (hceres.fr)

Sur l’intégrité scientifique repose la confiance entre les communautés de recherche, et entre celles-ci et la société. Pour lui donner un cadre et une impulsion nationale, l’Office Français de l’Intégrité Scientifique (OFIS) a été créé en mars 2017. Installé sous la forme d’un département du Hcéres, l’OFIS est une structure nationale transversale qui assure une triple mission : Plate-forme de réflexion, observation et animation.

Software Heritage (softwareheritage.org)

La mission de Software Heritage est de collecter, préserver et partager tous les logiciels disponibles publiquement sous forme de code source, dans le but de construire une infrastructure commune et partagée au service de l’industrie, de la recherche, de la culture et de la société dans son ensemble. Le code source des logiciels est collecté depuis des plateformes d’hébergement de code, comme GitHub, GitLab.com ou Bitbucket, et des archives de paquets, comme Npm ou Pypi, et est intégré dans une structure de données spécifique, un arbre de Merkle, qui est le cœur des archives de Software Heritage. Les artefacts qui se trouvent dans les archives sont associés à des identifiants appelés SWHID.